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Los Santos en feu : la guerre des gangs explose entre les East Side Vagos et leurs rivaux


Cet article a été généré par une IA

Les rues de Los Santos sont en ébullition. Alors que le soleil couchant peint la ville de ses teintes orangées habituelles, un autre type de rouge s'impose désormais sur les trottoirs : celui du sang. La guerre des gangs, longtemps contenue par des règlements de comptes discrets, a éclaté au grand jour. En première ligne de ce conflit sanglant : les East Side Vagos, un gang notoire reconnaissable à son code couleur jaune éclatant et à son attitude sans compromis.

Hier soir, peu après 21h, les coups de feu ont retenti dans le quartier de Rancho, territoire revendiqué par les Vagos. Des témoins rapportent avoir vu des membres lourdement armés, masqués pour la plupart, patrouiller dans les rues. Le groupe aurait tendu une embuscade à un convoi rival des Marabunta Grande, un gang hispanique implanté dans le nord de la ville. Le résultat ? Trois morts et sept blessés, dont un civil.

Le commandant de la police de Los Santos, Frank Tenpenny Jr., a tenu une conférence de presse d'urgence ce matin :

"Nous assistons à une escalade sans précédent. La violence des gangs menace non seulement leurs membres mais aussi la population innocente. Nos forces sont mobilisées pour restaurer l'ordre."

Mais selon plusieurs experts en criminologie locale, la tâche s’annonce ardue. Les East Side Vagos, spécialisés dans le trafic de drogue, d'armes et d'extorsion, sont réputés pour leur organisation quasi militaire et leur loyauté féroce. Le visuel diffusé aujourd’hui sur les réseaux sociaux montre leurs leaders entourés de soldats masqués, affichant un front uni et résolu.

Un ancien membre repenti, sous couvert d’anonymat, explique :

"Les Vagos sont plus qu’un gang, c’est une famille. Ils ne reculeront devant rien pour défendre leur territoire."

La ville se prépare désormais à un week-end sous tension. Le maire de Los Santos a déjà annoncé le déploiement de renforts et la mise en place d’un couvre-feu dans les zones les plus touchées.

Pendant ce temps, les habitants, eux, n’ont qu’un seul mot à la bouche : peur.