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Rien ne nous échappe. Tout passe par nous. Nous sommes Occulus.


À Los Santos, certains groupes criminels naissent et disparaissent au rythme effréné des guerres de rue, mais un nom demeure constant, murmuré avec crainte et respect : Occulus. Ce conglomérat mafieux, mystérieux et insaisissable, dirige secrètement la majorité des réseaux illégaux de la ville, sans jamais apparaître sous les projecteurs.

Origines et philosophie d’un empire clandestin

Fondé durant les années tumultueuses qui ont suivi l’annonce du US San Andreas Act, Occulus est né du chaos, se structurant rapidement en une organisation redoutable. Leur devise en dit long sur leurs intentions :

Rien ne nous échappe. Tout passe par nous. Nous sommes Occulus.

Contrairement aux gangs traditionnels attirés par la violence visible et les profits rapides, Occulus incarne une autre forme de pouvoir : celui de l’influence invisible, infiltrant chaque sphère politique et économique de Los Santos.

Dans une récente interview exclusive accordée à notre journal, le mystérieux dirigeant d'Occulus, surnommé « Le Veilleur », a déclaré sans détour :

L’influence n’est pas dans les journaux, ni dans les rues. Elle est dans ce qui ne s’écrit jamais.

Occulus se veut être « l’ordre dans le désordre apparent », manipulant en coulisses tous les leviers de la ville : trafic d’armes, laboratoires clandestins, blanchiment d’argent, et même corruption des institutions politiques et policières.

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Une ombre aux multiples visages

La structure interne d’Occulus est aussi intrigante que son influence est vaste :

  • Le Veilleur, maître invisible, prend toutes les décisions majeures. Son identité reste un mystère total.
  • Les Archivistes, stratèges et analystes, surveillent chaque mouvement criminel ou institutionnel.
  • Les Courtiers, véritables négociateurs, assurent la domination économique sur les marchés noirs.
  • Les Oubliés, agents anonymes et redoutables, exécutent les ordres sans question ni remords.

Chaque membre porte discrètement un tatouage stylisé représentant un œil moderne, signe distinctif visible uniquement pour les initiés.

La voix des citoyens : entre peur et fascination

Les avis des citoyens restent profondément divisés sur l’impact réel d’Occulus à Los Santos. Certains citoyens reconnaissent une forme d’ordre rétabli, même si celui-ci est dicté par l'ombre. « Avant Occulus, chaque semaine amenait son lot de violence. Aujourd’hui, les petits criminels tremblent, et les rues semblent plus sûres », confie un habitant sous anonymat.

Pour d’autres, Occulus n’est rien d’autre qu’une « dictature invisible », une menace constante qui corrompt tout : justice, politique, économie. « On a simplement échangé une violence visible contre une tyrannie cachée. Personne ne sait vraiment ce qu'ils veulent », affirme un autre habitant inquiet.

Témoignages de la police

Nous avons également pu interroger un agent du FBI, spécialisé dans la lutte contre le crime organisé et actuellement impliqué dans une enquête sur le groupe Occulus. Il a accepté de nous répondre brièvement sous couvert d'anonymat. « Je ne peux pas entrer dans les détails, l'enquête est toujours en cours », déclare l'agent.

Ce que je peux dire, c'est que nous suivons de très près les activités de ce groupe depuis un certain temps. Nous avons réuni des éléments significatifs qui nous permettent de penser qu'ils sont impliqués dans plusieurs opérations illégales, notamment en lien avec le trafic de stupéfiants et le blanchiment d'argent.

À la question de savoir si des arrestations sont prévues, l'agent reste prudent :

Nous prenons toutes les précautions nécessaires. Il s'agit d'une organisation structurée, avec des moyens de pression et un réseau étendu. Nous travaillons en collaboration avec les autorités locales et plusieurs agences fédérales. Notre objectif est clair : neutraliser cette menace tout en protégeant la population.


Lorsqu'on lui demande ce qu'il pense de l'image publique mitigée d'Occulus, il conclut sobrement : "Ce que les gens voient à la surface est souvent loin de la réalité. Notre travail, c'est de découvrir cette réalité. Et nous y arrivons, petit à petit."